Atelier de réparation de véhicules de loisirs à Bordeaux

Ce magasin s’inscrit dans la grande tradition de la FNAC : tenter de fournir au client le service le plus médiocre. On se planque, on évite les regards. Et quand on est débusqué par le client alors qu’on avait réussi à se recroqueviller dans un coin à l’abri des regards, on répond aux hasard à leurs questions pénibles. L’exemple du jour : l’oculus 2 est exposé au rayon jeux vidéos. Je demande à le tester. « Non c’est pas possible on n’a plus de démonstrateur depuis le Covid. - Mais les mesures sanitaires sont terminées. - Mais le démonstrateur n’est pas revenu. - Et vous vous êtes qui ? - … (regard vide) - Un vendeur ? Au fond, je ne suis même pas sûr qu’il sache pourquoi il est là. Une chose est sûre, il n’a pas d’intéressement sur la vente. Il doit croire qu’il est une sort de gardien de musée chargé de surveiller une exposition de produits pour le plaisir des yeux. Dans 5 ans ce type de comportements aura coûté son existence à cette enseigne. J’en prends le pari.